The McConnell – 301

Grâce à son travail dans les secteurs du bois, de l’agriculture et de l’administration municipale, la famille McConnell a contribué à faire passer Aylmer d’un simple hameau agricole au plus important centre urbain à l’ouest de Montréal, au XIXe siècle. La suite McConnell est un logement mansardé de 130 m2. Ses fenêtres surplombent la cour située entre la Maison publique et le Café British, ainsi que la rivière des Outaouais. La chambre à coucher dispose d’un très grand lit et d’une salle de bain complètement modernisée pourvue notamment d’une douche à l’italienne et d’un pommeau de douche à effet de pluie. Une pièce distincte, munie d’un divan-lit et d’un bureau, peut servir de bureau, de chambre à coucher additionnelle ou de salle de réunion.

The Conroy – 302

L’Irlandais Robert Conroy a bâti l’Hôtel British en 1834. Un entrepreneur dynamique, M. Conroy a fait du British l’un des plus élégants hôtels du pays. Au cours du XIXe siècle, ses années de gloire, l’établissement a accueilli des premiers ministres, des membres de la famille royale, des légendes québécoises comme Louis Cyr et Montferrand, et même une poignée d’assassins en cavale. La suite Conroy est un appartement de 165 m2 avec des aires de repos et de séjour séparées. Ses lucarnes – un style de fenêtre populaire au Québec – laissent entrer la lumière chaleureuse du soleil et vous offrent une vue panoramique du Carré patrimonial du Vieux-Aylmer ainsi que de la rivière des Outaouais. La pièce principale de la suite propose un espace salon spacieux muni d’un divan-lit pour les invités. Dans le respect de l’esprit entrepreneurial de M. Conroy, la suite peut également servir de lieu de réunion, la salle à manger pouvant faire office de salle de conférences. Véritable havre de paix, la chambre à coucher est complètement séparée de l’aire de séjour principal. Elle dispose d’un très grand lit et d’une salle de bain complètement modernisée pourvue notamment d’une douche à l’italienne et d’un pommeau de douche à effet de pluie.

Tchorewski – 201

En 1953, Joe Tchorewski a acheté et rénové l’Hôtel British, et bâti la Salle Continentale (maintenant la Maison publique). Il a transformé le British en une salle de spectacle qui a accueilli des chanteurs et des musiciens de renommée mondiale. Charley Pride, Ronnie Prophet, Carroll Baker, la famille Brown et Terry Carisse ont tous foulé la scène de l’établissement, souvent dans le cadre de performances impromptues à la suite de concerts à guichets fermés de l’autre côté de la rivière, à Ottawa. La pièce principale de la suite Tchorewski dispose d’un très grand lit, d’une salle de bain luxueuse et moderne ainsi que d’un espace de travail. L’aire de séjour, plus petite, est équipée d’un divan-lit confortable et peut servir de seconde chambre à coucher. Ses grandes fenêtres surplombent l’historique rue Principale, dans le Vieux-Aylmer.

The Prince of Wales – 208

En 1860, le prince de Galles (le futur roi Édouard VII d’Angleterre) est venu à Ottawa poser les premières pierres des bâtiments du Parlement canadien. L’Hôtel British, qui était le plus luxueux de la région, a organisé un bal en l’honneur du prince, qui s’est ensuite adressé, depuis le balcon de l’hôtel, aux citoyens rassemblés à l’extérieur. La suite d’affaires Prince de Galles, digne d’un roi, propose un unique équilibre entre la beauté traditionnelle et le luxe moderne. Surplombant la rivière des Outaouais et le Carré patrimonial du Vieux-Aylmer, cette chambre à aire ouverte dispose d’un très grand lit, d’un divan-lit, d’une salle de bain luxueuse pourvue d’un bain de détente et d’une douche à l’italienne.

Sir John A. Macdonald – 207

Dans la période suivant la Confédération du Canada, l’Hôtel British était réputé pour être le plus bel établissement de la région. Le premier Premier ministre du Canada, sir John A. Macdonald, aimait s’installer près du foyer de la salle qu’on nomme maintenant la Salle Or pour y siroter une bière. La chambre Sir John A. Macdonald est décorée de façon élégante et dispose d’un très grand lit et d’une salle de bain moderne et luxueuse. Ses grandes fenêtres, qui laissent entrer beaucoup de lumière, offrent une vue excellente sur la rivière des Outaouais

D’Arcy McGee – 206

Le politicien canadien Thomas D’Arcy McGee a été assassiné le 7 avril 1868, sur la rue Sparks, à Ottawa. Les policiers ont pris en chasse les agresseurs, mais ceux-ci se seraient échappés en traversant le pont Chaudière vers le Québec. Plus tard au cours de la nuit, quatre étrangers nerveux sont arrivés au British. Personne ne savait qui ils étaient ni pourquoi ils se trouvaient à l’hôtel, mais on a affirmé plus tard qu’il s’agissait des assassins du célèbre politicien venus établir leur alibi au British. Située au-dessus de la porte arrière par laquelle les assassins se seraient enfuis, cette chambre bénéficie d’une vue extraordinaire sur la rivière des Outaouais et du centre-ville historique du Vieux-Aylmer. Elle dispose d’un très grand lit, d’une grande salle de bain moderne et d’un espace de travail pour les visiteurs d’affaires.

Sir Charles Tupper – 202

En octobre 1895, le député Sir Charles Tupper a séjourné à l’Hôtel British, accompagné de Mackenzie Bowell, le premier ministre de l’époque, et de plusieurs dignitaires du Royaume-Uni et des États-Unis. Le British a servi de lieu neutre de stratégies et de négociations politiques. Cette rencontre a eu lieu en plein durant la question des écoles du Manitoba, une crise explosive qui a entraîné la démission de M. Bowell et l’ascension de M. Tupper au titre de sixième premier ministre du Canada. Surplombant le Carré patrimonial du Vieux-Aylmer, la chambre Tupper combine le luxe moderne et le charme ancien. Son très grand lit et sa salle de bain contemporaine pourvue d’une douche à l’italienne en font un endroit propice au repos et au confort.

Mondoux – 203

Cette chambre spacieuse donne sur la cour située entre l’Hôtel British et le Café British, où se trouvait autrefois la quincaillerie Mondoux, une entreprise familiale qui a exercé ses activités à Aylmer pendant plus de 30 ans. Les grandes fenêtres offrent aux visiteurs une vue ensoleillée de la cour et des nombreux bâtiments patrimoniaux longeant la rue Principale, dans le Vieux-Aylmer. La chambre est décorée de façon élégante et offre tout le confort moderne, dont un très grand lit et une douche à l’italienne luxueuse.

Jos Montferrand – 205

Tout comme l’Hôtel British, l’homme fort québécois Jos Montferrand a connu la gloire au cours du XIXe siècle. Considéré comme un héros parmi la classe ouvrière, ce bûcheron de 1,95 m sillonnait la rivière des Outaouais, laissant derrière lui des récits incroyables de sa force et de ses aptitudes au combat. Lorsqu’il buvait, le draveur avait l’habitude de faire un périlleux arrière pour laisser l’empreinte de sa botte sur le plafond du pub, ce qu’il a fait au British durant l’apogée de la drave. La chambre Jos Montferrand dispose, bien évidemment, d’un lit assez grand pour accueillir cet homme légendaire. Son design épuré et contemporain et ses couleurs rappelant les années de la drave à Aylmer en font un havre de paix pour les voyageurs d’affaires et les visiteurs de la région de l’Outaouais.

Yvette Ayotte – 204

Yvette Ayotte a résidé à l’Hôtel British pendant plus de 40 ans. Elle est la dernière personne à y avoir séjourné avant qu’il soit temporairement fermé pour rénovations en 2011. Elle était connue dans tout Aylmer pour ses tenues colorées et son rire communicatif. Malgré ses 80 ans, Yvette Ayotte parcourait la rue Principale d’Aylmer tous les jours, s’arrêtant ici et là pour discuter avec ses amis et voisins. La chambre Yvette Ayotte conserve le style moderne du British, mais avec une touche de couleur visant à rendre hommage à la plus ancienne résidente de l’hôtel. Par ailleurs, la chambre, qui est entièrement accessible, dispose d’une douche à l’italienne, de barres d’appui et d’un lit à deux places.

Share This